Aurélia : un monde qui va de soi Le problème d’acausalité dans les visions
Aurélia ou le rêve et la vie (1855) de Gérard de Nerval est sous l'enseigne d'un mécanisme intelligent. Celui-ci s'incarne à la fois dans la démarche immotivée des visions et le comportement passif du narrateur. Cette double gratuité dont la mise en forme s'attribue une bonne partie des ressources langagières de l'écriture d'Aurélia se remanie, au cours du récit, pour rendre compte des différentes nuances de l'idée nervalienne de « seconde vie ». Nous nous intéressons donc, dans cette étude, aux points du texte où le principe d'acausalité constitue un biais d'interprétation pour le rêve.
agentivité , Aurélia , causalité , linguistique , rêve
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