فهرست مطالب sharareh chavoshian

The present article, realized by using analytical method and library research, has discussed the different roles of colors in French and Persian terms. On the one hand, these terms have been studied in the field of linguistics, especially in terms of vocabulary and syntactic structure, and on the other hand, their hidden and obvious symbols have been analyzed by the intercultural point of view. In order to be aware of the commonality and differentiation of the colors’ role in the terms of both French and Persian languages and to create order and coherence in the text of the article, the authors have categorized them into six groups, according to their own initiative: Conceptual metaphor, terms structured by noun and adjective, metonymy, political domain, abstract concepts and terms based on infinitive. It is noteworthy that by referring to specialized books and dictionaries, the body of research consisting of qualified terms for each group has been conceived and for each of them, equivalent has been chosen in the target language. In addition to examining each term, the authors of the article have provided an analytical study of the examples, citing the views of linguists. Also, by referring to the book Le Proverbe : Vers une définition linguistique (2012) by Sonia Gomez-Jordana Ferari, the syntactic structure of the examples of the research body has been examined.

This research focuses on the comparative study of proverbs and expressions in French and Persian languages. This branch of linguistics has keywords in different areas of meaning, such as plants, animals, human body, colors, numbers, nature, etc. To define the subject, the authors of the article chose the terms related to the human body and targeted five organs, that is to say "the head, the eyes, the heart, the tongue, the hands". The researchers wondered if the French terms in question are equivalent to those in Persian. If so, is the member used in both languages ​​the same or different? This comparative-analytical study is based on the studies of linguists in this field. Along with the examination of the terms cited, one encounters cases where two different organs, the repetition of the name of an organ, or the combination of the name of an organ and an adjective create a new expression. Also, the symbolic role of the limbs used in French and Persian proverbs and expressions is very evident. According to the search results, often these French expressions have equivalents in Persian, or find structures in our language in the form of explanatory sentences. In the equivalent of some expressions, the organ is not used as a keyword, and in some others it is used in conjunction with the name of another organ.

Depuis sa première apparition jusqu’à nos jours, la représentation littéraire de la ville iranienne a connu une évolution considérable. Elle s’éloigne de la conception traditionnelle polarisant la ville en utopie et dystopie et se penche sur une interprétation postmoderne considérant la ville comme un espace-temps polyphone. Dans ce sens, le devenir des espaces urbains est particulièrement important dans la mesure où il configure le devenir socioculturel de certains discours courants dans la société iranienne. A travers trois œuvres persanes, Tel qu’il était, Couleur de corbeau et Grande Route, qui présentent des exemples parlants de la convergence des devenirs spatio-temporel et socioculturel, nous nous proposons, dans la présente recherche, d’étudier la question de spatialisation des discours sociaux. Pour ce faire, nous adopterons la géocritique en tant que cadre méthodologique et nous tenterons de répondre à quelques questions fondamentales qui mettent en relief différents aspects de la problématique : En quel sens le corpus choisi propose-t-il une nouvelle interprétation de la dichotomie « centre-ville/périphérie » ? Comment la pluralité des espaces urbains peut-il traduire le positionnement social de différentes générations iraniennes ? Et enfin, comment la ville fictionnelle laisse-t-elle son impact sur la ville réelle et parvient-elle à déplacer les frontières imposées par la réalité sociale ?

Frankenstein ou Prométhée moderne écrit par Mary Shelley au début du XIXe siècle est un roman de science-fiction de style gothique. Dans ce roman, la création et l'apparition d'une créature innocente qui n’a joué aucun rôle dans sa création, dont les actions sont sataniques mais comprises en même temps par l’indulgence du lecteur, constituent le cœur du roman. L’intervention de Prométhée dans le titre du roman fait penser à diverses versions du mythe grec de la création, y compris celle de Prométhée le Titan, créateur de l’homme et celle de Zeus créateur de l’homme, à qui Prométhée désobéit pour aider cette créature dépourvue de tout moyen de survivre. Cependant, le nom de Prométhée n’apparait que dans le titre et nulle part autre. D’autre part, vers la fin du même siècle, André Gide produit une œuvre compliquée, au titre transgressif du Prométhée mal enchaîné, contenant plusieurs personnages empruntés au mythe eschyléen et aux écrits romantiques de Goethe et de Shelley ; si bien que cet écrit donne lieu à différentes interprétations opposées ou identiques au mythe, celles du héros sacrifié et celles du héros révolté et libéré. La question que l’on s’est posée concerne cette apparition en plein milieu du romantisme anglais du début de XIXe siècle, puis vers la fin du même siècle, quand les écrivains influencés par le romantisme font le pont vers le symbolisme : quelle en est la raison ? Nos appuis méthodologiques seront la recherche documentaire en bibliothèque et l’analyse du discours.

Pablo Neruda est l’un des plus grands poètes du vingtième siècle. Ce qui le distingue des autres, c’est la variété de sujets dans ses poésies et la langue simple et authentique qu’il y applique. Notre article a pour fin de faire une étude comparative des traductions française et persane de l’un de ses recueils, intitulé Cent Sonnets d'Amour selon les théories de Henri Meschonnic, linguiste, poète et théoricien français, notamment d’après son point de vue sur l’ajout et la suppression dans les traductions ; nous allons illustrer cette recherche par des exemples extraits des textes tendus en français et en persan. Cela dit, l’objectif de notre recherche est de trouver des réponses aux questions concernant la possibilité de rapprocher la forme et le fond de la traduction de ceux du texte original entre deux langues sœurs (l’espagnol et le français) et entre celles qui semblent lointaines (l’espagnol et le persan).

Cet article se penche sur l’étude analytique d’une autobiographie relatant la vie d’un père de deux handicapés mentaux où les termes de parentalité du handicap sont associés à l’humour et à l’ironie. C’est le cas de Jean-Louis Fournier, auteur de Où on va papa ? (2008), celui qui, oscillant entre réalité et imagination, établit un lien entre deux situations qui semblent inconciliables, tant il paraît évident que la première soit déprimante et la deuxième amusante. De surcroît, puisqu’il se voit tout le temps confronté à différentes réactions des gens : pitié, moquerie, dédain et hypocrisie, il ne peut guère donner une pause à sa pensée toujours penchée sur le destin de ses fils. La question à laquelle nous essayons de répondre, c’est de vérifier si l’humour et l’ironie servent de remède à ces conditions difficiles. Pour ce, outre les extraits du livre qui font part de divers aspects de la vie de ce père et de ses deux fils infirmes et témoignent des moments très délicats même insupportables qu’ils traversent, nous recourons aux définitions de ces deux éléments linguistiques ainsi qu’aux travaux des psychanalystes, nous déduirons que la présentation humoristique de cette vie, à savoir se ridiculiser et ridiculiser les autres sont des « mécanismes de défense » qui aident ce père à survivre.

Les années 1910 ont connu une grande crise en Iran et sur l’échiquier mondial. Les événements après la Révolution Constitutionnelle et avant la Première Guerre mondiale ont préparé le terrain à une grande évolution sociopolitique, ce qui a entraîné une réforme littéraire dans notre pays : le roman, la nouvelle et plus tard la poésie moderne ont émergé. C'est à cette époque-là que Nima Youshij a composé son fameux poème « Clair de Lune ». Formé dans un lycée francophone, Nima a été influencé par la poésie moderne française, surtout celle parsemée de symboles permettant aux poètes de décrire la réalité. Cependant, les érudits de son époque se montraient réticents envers cette évolution. Il fallait attendre des années pour que sa poésie soit saluée par ses lecteurs et que le poète soit reconnu comme pionnier de la « Nouvelle Poésie » persane. Cet article a pour objectif d’étudier « Clair de Lune », en s’appuyant sur la sociocritique de Claude Duchet afin de voir comment la poétique du texte se mêle au discours social, ce qui nous a amenées à la conclusion que voici : cette nouvelle forme d’expression n’est pas le seul résultat de l’influence des poètes français sur Nima ; de même, elle n’est pas une simple imitation, mais un moyen d’expression des événements socio-politiques de son époque.

Le présent article se concentre sur l’étude de deux figures de style telles la métonymie et la synecdoque dont le repérage dans les textes économiques exige une parfaite connaissance en rhétorique et en culture de la langue du texte. Les empreintes de ces deux rhétoriques sur le plan culturel sont repérables dans différentes sphères dont géographie, affaires politico-économiques, généralisation des noms propres, noms des ministères et des institutions étatiques, noms toponymiques, tourisme et métiers. Un large éventail d’exemples dans chaque domaine en a donné une vision plus claire. Basés sur le cadre théorique de cette recherche, les exemples du corpus, fréquemment employés dans les textes économiques, sont ancrés dans les définitions des linguistes dont nous avons abordé les travaux. Quant à la méthodologie de recherche, elle s’inscrit dans un cadre descriptif et analytique. Cette analyse nous a permis d’extraire les éléments culturels et extralinguistiques dissimulés derrière chaque figure, non sans donner des précisions au lecteur moyen dans certains cas qui semblent ambigus. Vu l’ancrage de ces rhétoriques dans le Culturel de tout pays, le public auquel s’adressent ces textes doit s’en doter pour pouvoir percer leur secret.

Tahar Djaout, auteur, poète et journaliste algérien, aborde dans ses écrits la violence qui persiste dans son pays dans la période allant de l’arrivée du Colonisateur à l’époque postcoloniale. Chez Djaout, la question qui se pose c'est que l'œuvre qui est naturellement polyphonique, à la croisée du fictif et factuel, d'une diversité de domaines, de langues et d'expressions (orale/écrite), à quel point pourrait éclaircir les problèmes de violence, d'identité, d'interculturel et de linguistique et à la fois attirer son interlocuteur. Pour pouvoir arriver à une synthèse de la mise en scène de la violence dans son œuvre, nous nous sommes essentiellement penchée sur trois de ses écrits : Les Vigiles, L'Exproprié et Le Dernier été de la raison qui se situent plutôt dans le cadre du roman, chevauchant entre le factuel et le fictif. En analysant les discours dans les romans précités, nous allons déduire qu’en associant le fond à la forme, Djaout parvient à montrer la violence qui secoue son pays.

The purpose of this study is to investigate the effect of patriarchal and gender systems on womenchr('39')s demands in different cultures. The question is whether the mechanism of these systems works in the same way in different societies and leads to the same results? What are the commonalities or differences between womenchr('39')s demands for civil and political equality with men in different cultures? In this regard, based on a broad reading of the feminist theory, according to Bourdieuchrchr('39')s theory of male domination and within the requirements of comparative literature, the writings of two women writers from two cultures, Iranian (Alamataj Ghaem Maqami) and French (Constance de Salm), were selected. A thematic study of their works and ideas in two societies in transition (Constitutional Revolution in Iran and the French Revolution of 1789) shows that male domination, regardless of other cultural characteristics, leads to the same demands to eliminate discrimination against women in the family, education as well as politics.

Nowadays, experts in the field of translation studies agree that translation is one of the most characteristic patterns of interaction between two cultures that cannot be limited to a purely linguistic process. In the field of translation, theorists such as Berman, Venuti, Schleiermacher, Ricoeur ... emphasize representation and alienation of the other and consider it as a superior strategy. They warn the translator against any "sacredness of the mother tongue" and believe that he should introduce the other culture to the target language readers without any interference. But in reality this is not always the case. Sometimes the translator uses semantic substitution instead of acquainting the destination reader with the foreign culture. Sometimes it even involves deleting and changing content. Can alienation be considered a superior strategy regardless of the situation? What factors prioritize strategies? Is not choosing such a so-called superior strategy simply rooted in the translatorschr(chr(chr('39')39chr('39'))39chr(chr('39')39chr('39'))) view of the translation process? What factors influence translator choices and differentiate different translations of a work? What effects can these choices have on the target language reader? This article examines the factors affecting translator choices in translating culturally oriented elements.  It then examines the impact of these choices on target language readers.

When French government was ruling against Algeria, the Algerian literature was a means of fighting against Colonialists. After the independence, the literature found another orientation: a large number of writers, searching a trace of the jumbled Algerian identity and trying to find an answer to the question of why violence still did not leave the country, got started to write; so many were killed, including Taher Djaout, journalist and writer whose second novel, The Bone Seekers (1984) focuses on the persistence of violence in the post-colonial age: Despite the withdrawal of the colonialism and the victory of the people in the independence wars, violence is ongoing and expanding. The present article, by analyzing Bone seekers, tries to study the novel as a combination genre and reminiscent of the forgotten and unwritten parts of history. This novel draws a society dominated by corruption, opportunism and hegemony of the violence that betrayed the aims for which people fought.

La petite fille de Monsieur Linh met en scène l’expérience d’un réfugié/expatrié âgé qui, ayant subi le traumatisme de la guerre et de la perte de sa famille, s’installe dans un nouveau territoire dans l’espoir de protéger sa petite-fille, seul membre de famille qui lui reste et de lui favoriser les conditions d’épanouissement. Dans son cheminement dans ce nouvel espace, il rencontre la solitude, le silence, le vide mais aussi l’amitié : une amitié qui se tisse entre lui et un vieux soldat, Monsieur Bark, dont Linh ne sait pas la langue et qui avait, dans son passé de jeune soldat, participé au massacre des compatriotes de Linh. Ce présent article a pour objectif de suivre Linh dans son passage d’un aliéné, isolé et traumatisé, dont la seule motivation de vivre était une poupée qu’il avait pris pour sa petite-fille, à celui qui, pour retrouver son existence authentique et sa liberté, s’échappe de son asile, traverse la ville inconnue et labyrinthique pour rejoindre son ami ; il redéfinit en sorte son identité qui n’est plus celle enracinée dans la mémoire du pays de provenance mais une identité mixte et en relation pacifiste avec le nouvel espace authentique.

Dans le recueil de nouvelles L’histoire d’un amour sans " r ", ni " m ", ni " a ", de l’auteur iranien contemporain Mostafa Mastour, le lecteur rencontre des personnages qui, au seuil de la compréhension d’une vérité, de la prise de conscience de leur sentiment, ou de la réception des réponses à leurs questions au sujet du monde, ne pouvant la/les subir, mettent fin à leur vie, se sentent marqués par une sorte d' "autisme" qui les empêchent de continuer leur relation avec leur entourage, ou tout simplement disparaissent. A partir de leur conscience, les personnages de Mastour construisent une image du monde, basée sur leur perception, sur les acquis qui leur semblent réels, puis réagissent. Ce comportement pourrait trouver son appui théorique dans la phénoménologie merleau-pontienne, qui attribue la primauté à l' "être au monde. L'épistémologie qui résulte des propos de Merleau-Ponty, est donc le produit de la conscience -en tant qu'un élément qui vit-, plutôt que celui des simples réactions physiques. Nous allons étudier dans ce présent article, la perception de l'environnement par les personnages du recueil de nouvelles mentionné dans le titre, et vérifier la réaction qu'entraîne cette épistémologie chez eux, en nous appuyant essentiellement sur les propos de Merleau-Ponty dans ses deux livres Phénoménologie de la perception et La Structure du comportement.

In the postmodern society, where the financial system encourages consummation, huge companies which dominate productions, even artistic ones, qualify them as "best sellers". The "best seller" artistic origins are consumer societies, in other words, societies identified by their towers. Towers like "Yumimoto" in Stupor & Tremor, by Amélie Nothomb. The architecture of these towers coincides with the postmodern development leading to industrial development of 20th century. Towers which represent contemporary urbanization, have turned into symbols of the commercial hold on the urban life. The Far East, where the story takes place, with the fast industrial development succeeding the World War II, owns huge towers. Meanwhile, the relationships between the story and its towers are not limited to "commercial gender". While reading the story, we realize that the architecture of the tower has a direct relationship with its narrative structure and its writing, and as a result, a systematic "text-structure". Architecture, as the best identity revealing any thought structure and therefore any social structure will be the center of our interest. According to our research, the presence of architecture in this novel has not been studied yet, so in order to achieve a supported article, we are going to resort to Philippe Boudon and Emile-Auguste Chartier (the philosopher called Alain) to find some definitions of the notion of space and architecture. As for Stupor & Tremor, the tower as a symbol of masculinity, and the tower hierarchy, encompassing misogyny, are the most dominant relationship among all the elements of this novel: precisely like in a tower, where the upper stages are occupied by wealthier and most powerful ones, the same hierarchy will form the relationship among company staff. Regarding the connection between architecture and literature, we are going to restudy the theories put forward by Philippe Hamon and Marc Augé, and then we are going to analyze Stupor & Tremor and the acting roles of the architectural elements in this text. Since we have to look for any signs, significant words, sentences, mimics or behaviors, to prove the presence of the same hierarchy in the structure of the novel, we will opt for discourse analysis as the most suitable methodology for our research. The same analysis will be applied to lexical field, sentence structure and grammatical elements in order to highlight the relationship mentioned above, throughout the novel. All through our analysis, we will see that the hierarchy which has conditioned the tower structure, dominates different spaces, in particular, the communication: the one between employees, no matter its type –oral expression, body language, mimic or look. Tower, in spite of being a symbol of progress and development in the world, is still considered as advocating masculine power: only five percent of employees in Yumimoto are women; among these five percent the only woman who has got a remarkable promotion, has a masculine behavior, in spite of her original beauty. In order to make progress, she has to be hard-working, without a heart, resistant and ambitious. If not, she has to accept the destiny of all the other Japanese women reluctantly: to be an obedient wife and mother, to be silent and to have no wish for herself. So if a woman in this hierarchical system wishes to make progress, she has to be single and to behave like a man towards women employees who are inferior to her. The novel is, to some extent, autobiographical because Amélie Nothomb, the author, was born in Belgium and passed her childhood in Japan till the age of five. She returned to Japan to work in Tokyo. Her experience of that period provides the necessary elements to write this novel, in which, the principal character is also named “Amélie”. She was first known as the author of a type of novels known as "Roman de la gare" by French readers, which means an easy novel to read that could be bought at any train station and be read in a short time while the reader is traveling. However with Stupor and Tremor, Amélie Nothomb obtained the most important price of the French Academy and gained a different status. Amélie, the principal character of Stupor and Tremor, is Belgian; Japan is her childhood land. She admires Japanese art and style and always dreams of returning there. Therefore, having obtained her Master degree in Japanese language, she restarts her life in this country as a translator. We will gradually follow Amélie from her entrance in Yumimoto as a Japanese/French language translator, through her progressive fall and ultimately we are going to find her as a toilet cleaner: Yumimoto ate her like a digestive system and threw out the rest of her; that is why we will find her at the end of her professional life in Yumimoto, as the person in charge of the toilet cleanliness. Yet resigning and getting free from this system and this tower, she will get over her fall and failure and make progress quickly. There is a saying from Aristotle mentioning that nothing will equalize literature: as the first novel of Amelie is published and sent to her ancient superior, she can finally obtain the approval of those who did not tolerate her as a member of Yumimoto.

Essence de la création, l’amour ne cesse de se proposer comme l’un des thèmes fondamentaux de la littérature persane, notamment chez Hafez. Présent sur les frontières du sensible et de l’intelligible, l’amour tisse des liens sans cesse renouvelés entre le visible et l’invisible. Etablissant ainsi un parallélisme entre le sacré et le profane, il se caractérise dans la littérature mystique par une ambiguïté interprétative qui, loin d’entraver la perception du sens, permet la naissance d’une expérience esthétique du sensible, celle qui apparaît dans les vers de Hafez et ce, grâce à la présence d’un élément architectural sacré, à savoir, le mihrab pour lequel le poète a évoqué un autre signifié, le sourcil de l''A(a)imé(e). Cet article a pour objectif d''étudier cette binarité du sens de l''A(a)mour chez Hafez et de justifier son choix pour un élément architectural apte à évoquer cet A(a)mour.

In all narrative texts, a lack reveals itself as the start of the action; the continuation would be an effort to liquidate that lack. This continuation in which the initial stat transforms itself to a second one, is the narrative procedure which could not have any sense without the presence of the actors, i.e. the ones to which a role is attributed, including objects. After Propp, who first presented the narrative text sketch, Greimas took the project and charged the actors with different functions.Making out the actors’ roles and the narrative procedure of the novel The bitter taste of persimmon, will be followed in this present article, leaded by a structural approach of the same novel.